- Marc Ropert, 52 ans, enseignant en Sciences Economiques et Sociales, lycée & université
- Laure Lebourcq, 52 ans, animatrice pour personnes handicapées
- Jean-Yves Hannebert, 67 ans, architecte
- Stéphanie Bertrand, 44 ans, enseignante en Sciences de la Vie et de la Terre, collège
- Jérôme Perelman, 58 ans, directeur de projet webmédia, ancien conseiller municipal
- Marie De Barros, 38 ans, professeur des écoles
- Sébastien Charlemagne, 44 ans, enseignant en Sciences de la Vie et de la Terre, lycée
- Valérie Nezot, 46 ans, directrice d’école
- Mauro Migotto, 43 ans, statisticien à l’OCDE
- Sandrine Freitas, 48 ans, agent territorial spécialisé des écoles maternelles (Atsem),
- Benoît Boulet, 47 ans, professeur d’éducation physique et sportive à l’université
- Véronique Porlier, 49 ans, technicienne bio-hygiéniste
- Gilles Rodesch, 63 ans, cadre bancaire retraité
- Clarys Vercruyce, 42 ans, psychologue clinicienne
- Carlos Freitas, 53 ans, carossier automobile
- Hestia Tristani, 48 ans, artiste lyrique
- Jean-Marie Poupelin, 60 ans, musicien
- Liliana Guilvard, 47 ans, médecin généraliste
- Gérard Gonczaruk, 49 ans, responsable d’études marketing
Je découvre votre site. Pas de conclusions hâtives. Vous avez certainement besoin d’une plus grande exposition parce qu’ici, à Nesles, comme dans bien des villages alentours, le lien social se résume à peu de choses. Si ce lien n’existe pas ou peu, vos ambitions louables n’auront que peu d’écho. Le maire en place, a gagné ces dernieres élections locales parce que nombre de Nesloises et Neslois n’ont guère d’exigence, sinon, peut être celle de profiter d’un cadre et, le minimum assure, notre cher maire peut couler des jours paisibles. Il surfe sur son historique d’élu local. Ne pas en exiger plus….. À vous lire. Faire bouger les choses c’est, en ces contrées privilégiées, être audible. Pour le moment, ce n’est pas le cas de votre mouvement. Les bonnes intentions se heurtent toujours a l’ignorance. À Nesles, elle domine.
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Merci Thierry pour ce commentaire pertinent. Si vous l’avez écrit, c’est que vous nous avez rencontré, et ce n’est déjà pas si mal. Nous n’avons pas l’ambition, ni même le désir, de tout révolutionner. Nous savons où nous sommes. Nous avons juste la prétention de faire se rencontrer des idées différentes du flux « dominant », portant notamment sur des points qui nous tiennent à coeur. Nous croyons, au-delà de l’exigence démocratique qui peut siéger en chacun de nous, que certaines valeurs sont universelles et qu’elles peuvent trouver un écho favorable même à Nesles. Tout simplement parce que nous savons que nous ne sommes pas un petit village gaulois séparé du reste du monde avec ses propres règles et son contexte à protéger à tout prix. Cette position serait celle d’un individu dans sa maison (ça marche aussi avec son appartement mais déjà moins bien) qui aurait ses propres règles, dénoncerait celles du voisin et voudrait ne pas se soumettre à ce qui permet de créer le village qui entoure sa maison. Bien sûr, dans le général, le collectif, tout n’est pas parfait. Et il faut travailler à l’améliorer, nous devons nous y attacher. Mais sans le village autour de sa maison, on est bien seul et bien démuni. Et on n’a guère le droit à la parole… sauf pour s’adresser aux oiseaux. Nous faisons partie d’un territoire, plus vaste que nous, qui nous impose des contraintes, et qui demande des comptes. Faisons avec, protégeons-le, mais donnons lui aussi ce qu’il nous rend (par le biais des subventions par exemple). Travaillons aussi à nous y intégrer, plutôt que d’être mal intégrés ou pire, désintégrés. Et ayons confiance en nos voisins ?
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